Olivier Dubois: Je viens de découvrir près d’un an après mon intervention que vous aviez répondu à mon billet, lequel apparemment a semblé vous toucher à titre personnel.
Je ne sais pourquoi vous usiez à l’époque de terme frôlant la la vulgarité: « cracher sur les autres professions et victimiser l'entrepreneur » et un autre qualificatif « français moyen » lequel pour vous, en être affublé, n’est pas flatteur…
J’ai relu mon texte et je ne vois pas, en quel terme, comment j’ai pu atteindre « par un mélange de salive et de mucosité » les gens qui se lèvent tôt pour aller travailler?
Vous ai-je à ce point ébranlé vous le « banquier ET entrepreneur » (que vous seriez) pour ne pas reconnaître que mes propos dénonçaient un comportement qui allait au delà-des compétences que certains s’arrogent?
Avez-vous lu dans mes lignes des mots qui assassinait l’employé de banque qui ne fait qu'exécuter ce qu’on lui demande?
Me croyez-vous assez naïf, voire primaire pour mettre au banc des accusés des employés qui « s »arrachent » tous les jours et qui très souvent doivent gérer des conflits qui les dépassent?
Ãtiez vous tant aveuglé par mes propos au point de ne pas comprendre qu’ils concernaient la dénonciation politique de banquiers qui ne se trouvent pas derrière le « guichet »?
Quant à votre remarque » vous faites honte aux autres entrepreneurs »: avec sourire, je vous imagine dans le rôle de l’inquisiteur, l'Åil accusateur, le bras tendu et l’index dirigé vers celui que l’on doit condamné!
Je maintiens, je persiste et signe qu’à vouloir tout faire, à s’éparpiller, à se substituer à des métiers dont l’origine est aux antipodes de ce pourquoi on a été formé est une erreur et je le dénonce, même si cela déplaît.
Je vous souhaite néanmoins une excellente journée et si vous avez des enfants une bonne rentrée des classes 2012.
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Par : Patrick Drevon
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